La journée de la solidarité

C'était hier la journée de la solidarité au jardin Albert 1er. Une organisation de la mairie à laquelle j'ai décidé de me rendre non pas pour autionner ce que fait la mairie mais pour saluer tout ce travail réalisé tout au long de l'année par ces associations qui ont un idéal dont je me sens très proche.

Je m'y suis rendu avec Frédérique Grégoire-Concas, l'épouse de Marc. Nous avons passé là-bas trois heures pendant que Marc lui, était affecté à d'autres représentations dans le quartier du Port. C'est cela le travail en équipe!

Il y avait 48 associations qui étaient venues s'installer, sur des stands sommaire mais la bonne humeur compensait. En tout cas cela a été un vrai moment de plaisir. Nous avons fait tous les stands? parlant avec les responsables de leurs actions, de leurs espoirs, découvrant des savoir-faire étonnants. Il y avait une vraie fraternité. Peut être les élus sont ils passé plus tard dans l'après-midi.? Nous étions tranquille, pouvant aller au fond des échanges et ne pas se contenter de salueur au pas de charge comme cela se fait lors des visites officielles.

Il y avait les deux SAMU sociaux, celui de la mutualité qui couvre la nuit et celui de la croix-rouge qui couvre le jour,  les grandes assocations Actes et ALC, La semeuse.

L'UFCS et ses responsables avec qui nous avons évoqué les questions dégalité homme-femme.

Le Centre d'entraide de Nice qui tient de spermancences d'écrivain public dans les antennes du CCAS de Nice.

Nice Bénévolat 06 que je connais et qui fait un travail remarquable de formation.

Médiation Cité où je me suis attardé longuement parce que cette association fait un gros travail en politiquede la ville.

Le CEAS, et PEPS qui me fait part de sa difficulté à mobiliser les élus du Paillon sur les questions d'aide à la personne.

SOS Suicide où j'évoque la mémoire de Gaston Caillaud qui nous manque tant.

Les missionnaires de Notre dame de la Paix ou on m'offre un petit scoubidou confectionné par une soeur, un petit geste auquel je suis très sensible.

la CAVA de Saint Augustin - qui connaît des difficultés -, l'ASSIC qui en sort peut être...l'ARDI une nouvele association que je ne connaissais pas...

Dialogues enfin que par contre je suis depuis led ébut et qui est unée épicerie sociale de Pasteur qui a un rôle très important dans le suisvi des pospulations défavorisées...

Je prends des notes, en parle avec Frédérique. Une bousculade se produit à l'entrée. Je pense que c'est Peyrat qui arrive, mais non pas vu le maire de Nice sur les stands. En fait c'est Adriana Karembeu qui est là pour la Croix Rouge. Elle va faire presque tous les stands, les gens sont ravis, et il parait que pour la croix rouge c'est une excellente affaire (plus 20% de dons quand elle participe à l'action de collecte).

Comments

[patrickallemand]

Cette journée est un bon concept. Je regrette simplement qu'il n'y ait pas suffisamment de communication autour.On y voit beaucoup de bénévoles qui ont eu connaissance de l'information mais peu de citoyens. C'est donc à retravailler pour l'avenir.

[Dora]

Puisque nous voici dans les « spermanences d’écrivain public » (je cite depuis le texte de PA), une petite animation pour Fabrice et Eric : http://www.onepointtv.com/crf/index.html

Et un lien pour compléter l’information de ma consoeur sur les associations : http://www.ifrap.org/0-ouvrirlesite/assoc.html

[Eric]

Cannes, Adriana Karembeu... Patrick, tu pourrais faire profiter les fidèles militants des bons plans!

[fabrice]

Adriana, dommage pour tous ceux qui voulait la voir à Cannes. C'est toujours la même chose, j'suis jamais dans les bons plans.
D'autant plus qu'il y avait un spectacle en fin d'après midi.

[nathalie]

Dans tous les domaines et particulièrement dans ceux du social, de la solidarité et de l'humanitaire, les associations sont devenues incontournables. Elles doivent être considérées comme de véritables PARTENAIRES de l'Etat et des collectivités territoriales. L'économie sociale (dont les associations sont la principale composante) représente 12,4% de la population active en PACA, elles sont donc également créatrices d'emplois (1er pourvoyeur d'emplois dans le champ du sanitaire et du social!). Toutefois, les difficultés économiques qu'elles rencontrent ne permettent pas toujours d'assurer de véritables emplois pérennes. Ce sont trop souvent des emplois précaires (Contrats d'accompagnement dans l'emploi, contrats d'avenir....), beaucoup de temps partiels....Il n'est pas étonnant alors de constater que 61% de ces emplois sont occupés par des femmes et que le secteur de l'associatif est celui qui recense le plus de cadres féminins. La reconnaissance par les pouvoirs publics du travail d'utilité sociale réalisé par les associations passe également par un travail d'évaluation. Vaste champ à explorer pour lequel nous pouvons nous inspirer (pour une fois) des modèles anglosaxons....je dis bien, nous inspirer, notre modèle associatif devant conserver toutes ses spécificités. Cela risque d'être diffcile aux vues du lobbying opéré auprès de l'Union Européenne pour que les "charity associations" deviennent le modèle dominant en Europe.