Départ des lycéens pour les J.O de Turin

Retour sur Nice dans la matinée donc samedi car à  13 heures, les premiers lauréats du concours organisé par la région pour les lycéens dans le cadre des Jeux Olympiques part pour Turin avec une quarantaine de jeunes niçois et des communes  voisines à son bord.

J'arrive une demi-heure avant direct de Turin. Quand je peux le faire j'aime arriver à l'avance quand la Région organise quelque chose. On ne sait jamais. Et nous avons bien fait! Les téléphones crépitent depuis un bon moment dans la voiture. On m'annonce un sérieux contre-temps. Le rendez -vous a été fixé pour le départ à 13 heures, Place Masséna. Les parents commencent à arriver avec les jeunes. Et les cars sont bloqués à l'entrée de Nice. La police municipale leur interdit l'accès à la ville. Malgré les palabres d'usage, rien n'y fait. Le genre d'avanie dont on se passerait bien. Anne-Julie Clary m'a rejoint. J'annonce aux parents que la police municipale bloque les cars à l'entrée de la ville et qu'il faut donc aller embarquer à Ferber, à l'autre bout de la ville.

Je n'ai eu aucune remarque désagréable d'aucun parent, tous consternés de constater l'aveuglement de la ville dans cette affaire. Mais avec les retardataires, la presse qu'il a fallu déplacer aussi, etc...le départ effectif se fait aux environs de 15 heures. Pratiquemment deux heures de retard! Nous n'avons toujours pas pu déjeuner. Une vraie hypoglycémie! Résultat je déjeune tard, trop tard pour assurer tout ce que je voulais faire dans l'après-midi, notamment un passage à la manifestation contre la directive "Bolkenstein" -mais Paul Cuturello y est pour le PS - et deux engagements associatifs.

L'essentiel est que nos jeunes soient bien partis. Ils rentrent demain dans l'après-midi et devinez , au programme, les lycéens niçois avaient la descente homme. Gràce au dossard 30, un certain Deneriaz, quelque chose me dit qu'ils ne sont pas prêts d'oublier ce 12 février. Un français champion olympique, ça marque quand même!