Un samedi bien rempli
Samedi, c'était le premier jour de distribution de ma lettre aux niçois. Un document tiré à 100 000 exemplaires qui va faire l'objet d'une distribution militante sur toute la ville. Bien entendu j'ai commencé par le quartier Saint Roch, où les militants de ma section s'étaient donné rendez-vous pour "faire du pare-brise". Les gens rencontrés sont plutôt contents, surpris que ça parte si vite. Sur le centre-ville la section Nice 1 fait merveille de bon matin puisque vers 10 heures je vois déja des pare-brises garnis dans le deuxième canton vers la rue Lépante. A 11h30 je suis à l'ouest pour passer un moment avec Paul Cuturello sur le marché du boulevard Paul Montel. Je prendrais d'ailleurs l'apéritif avec les militants de Nice-Ouest à la permanence de Paul.
L'après-midi je sais que la section Nice-Masséna s'est mise en route couvrant la bas du deuxième canton et une bonne partie du 6ème. Dans les jours à venir nous serons renforcés par des sections qui n'avaient pas pu être prévenues, les tracts ayant été livrés le vendredi soir à 19h30. je pense à Nice 11, Nice 8, Nice 9 et Nice l'Ariane.
Il faut que vous sachiez que les tracts, c'est beaucoup de préparation. Il faut plusieurs jours de travail pour sortir le texte d'une lettre aussi importante que peut l'être le premier document de campagne. J'étais encore devant mon ordinateur jeudi à 0h06, moment où j'ai donné le fameux "bon à tirer" qui est toujours un grand moment de soulagement pour l'imprimeur.
Sinon mis à part le tractage, la journée de samedi a été entrecoupée de nombreux rendez-vous. Samedi matin je suis passé à la brocante organisée devant l'église Saint Roch, par les associations Entraide et Partage et Saint Roch Mission, le temps de saluer tous ces bénévoles si dévoués et de discuter le coup avec le président Philippe Rossini.
L'après-midi, visite à la journée organisée par Handicap International, sur la Promenade des Anglais, ou j'ai retrouvé plusieurs militants socialistes par ailleurs membres de diverses associations. Ensuite en face, visite à la fête de la solidarité, dont le parrain était Christophe Pinna. Là j'ai pu voir plusieurs associations avec Valérie, Marc Concas et Frédérique Grégoire-Concas. Le temps de prendre un thé à la menthe chez Dialogues, de m'arrêter chez Médiation Cité, aux équipes de Saint Vincent de Paul, a la Fourmi, chez Art Sens, etc... que celles et ceux qui ne sont pas cités me pardonnent.
Ensuite il me fallait prendre la direction de Carlone, où le président Corbucci m'avait convié aux 80 ans du Montet Bornala Club, où je retrouvais le conseiller général du 9ème canton, Joseph Calza, incroyablement actif depuis quelques semaines, Dominique Estrosi, et d'autres élus de la majorité municipale. C'est un club sympa, omnisports (football, ski et boules) qui est en même temps un clos, un club de quartier.
Mais déja il m'a fallu partir pour me rendre à la salle Leyrit voir jouer les filles du Nice Olympique Basket Club, relégué en D2 et produit de la fusion du Nice Olympique et du Cavigal Nice Basket. A un moment, les niçoises, qui affrontaient Rennes, menait de 20 points et on s'acheminait vers une promenade de santé qui aurait pu me conduire à partir voir la seconde mi-temps du match de handball à la salle pasteur. Mais l'écart s'est tellement réduit qu'il n'était plus question de partir. On a tremblé jusqu'au bout mais les filles ont fini par gagner 80 à 73.
J'irai au Handball la prochaine fois!